salut mes loulous,

ce matin j'étais chaude de la chatte. J'avais envie d'un orgasme. Donc je m'allonge confortablement dans le canapé, les cuisses largement écartées, ma main frôle ma vulve mouillée. Mes doigts se glissent lentement dans ma fente qui s'ouvre. Ils remontent sur mon petit bouton rose que je pisse entre le pouce et l'index. Il est tout dur et très sensible, très érectile. Je me branle de plus en plus fort et je m'arrête brusquement avant les premiers spasmes. Je suis une vraie chienne en chaleur et je donnerai n'importe quoi pour sentir une grosse que me dilater le trou à pisse. Je sors alors mon godemiché que je commence à me fourrer dans le vagin, et commence à me limée avec un gros va-et-vient.

Tout à coup la sonnette retentit. Je l'attendais personnes et dans ma hâte allait ouvrir j'avais oublié que j'étais en mini nuisette. Deux hommes étaient sur le palier, ils se sont présentés pour la livraison d'un meuble que j'avais commandé il y a quelque temps. Je ne m'étais pas rendue compte que je tenais encore le vibromasseur dans ma main.

« Apparemment vous êtes en manque de grosse bite. » Et joignant le geste à la parole il sortit son braquemart.

Voyant celui-ci mon sang n'a fait qu'un tour et l'excitation sexuelle ma de nouveau envahie.

- On pourrait commencer par une pipe dit le deuxième gars, en branlant sa queue. Ce n'était pas une grosse queue mais elle était très épaisse avec un gland très évasé. Je me suis agenouillé pour prendre sa pine dans ma bouche je devais écarter mes lèvres pour le combler complètement sa queue sentais un peu la pisse, mais j'aime ça. Je le pompai de mon mieux. Pendant ce temps la, le deuxième me fit écarteler les cuisses pour qu'ils me rente sa grosse bite dans ma chatte humide. Son sexe n'a eu aucun mal à s'enfoncer, il me remplissait bien en largeur et en profondeur, et à chaque coup de boutoir, je poussai un long gémissement de plaisir. Le salopard ne se retient pas longtemps, et je reçois de longues giclées de foutre dans mon vagin en feu. Je demandai à l'autre mec de continuer car moi je n'avais pas eu d'orgasme.

La queue charnue du copain est entrée comme dans du beurre d'argent dans ma mouille et le foutre de son copain. Il m'a percuté le fond de l'utérus avec son gros braquemart bien dur, et il me vida sa liqueur en appuyant ces derniers coups de rein. J'étais comblée, et je me suis envoyé en l'air en me faisant labourer ce matin par ces deux belles queues.

Ils ont fini par me livrer mon meuble, et sont repartis, me laissant la chatte dégoulinante de leur sperme.

Comme vous voyez mais loulous je me suis pas ennuyée ce matin.